Je ne suis pas triste, je ne suis pas sidéré, je suis en colère

Je suis en colère, mais je ne vais pas taper sur Pépère et son orchestre. Non pas que je veuille me joindre à l’appel à l’unité nationale, je ne suis pas républicain, les guéguerres partisanes m’indiffèrent. Mais il faut bien dire les choses, les branquignols de droite comme de gauche qui se succèdent aux commandes du pays depuis 30 ans sont collectivement responsables du bordel dans lequel nous nous débattons depuis quelques temps. Ce qui est arrivé est le résultat des politiques à court terme qui ont été conduites. Lorsque l’on privilégie l’assistanat, que l’on ne veut pas contrarier les syndicats de l’Educ-Nat ou les cultureux en baissant leurs budgets, et que dans le même temps on se sert des budgets de la défense et de l’intérieur comme de variables d’ajustement, il ne faut pas s’étonner de ce que n’importe qui puisse entrer tranquillement dans notre pays, y trouver des explosifs et des armes de guerre, créer ou rejoindre un réseau puis passer à l’acte. D’autant que les cons qui ont mis en oeuvre ces politiques de démembrement des forces de sécurité civiles et militaires sont aussi ceux qui ont applaudi à la création de l’espace Schengen. Vous vouliez de la libre circulation des personnes, voilà, vous êtes servis. Enfin vous, vous êtes peinards dans vos palais gardés, dans vos appartements surveillés par des factionnaires en arme, ce qui n’est pas le cas du vulgum pecus qui lui se prend les rafales et les bombes en pleine gueule.

Tiens, une image choc : quand on a retiré tous les bureaucrates, les personnels de santé, etc., les effectifs mobilisables de l’armée de terre tiennent dans le Stade de France. Et c’est avec ça qu’on veut être impitoyables !

Je suis en colère parce que depuis le 11 septembre 2001 toute personne qui sait lire, sait que nous sommes entrés dans une confrontation musclée entre le monde musulman et le monde occidental. On a beau se mettre la main devant les yeux, refuser de voir la réalité, il n’en reste pas moins vrai que sur environ 6000 versets, le coran en contient pratiquement 1000 qui appellent à la violence, voire au meurtre, à l’endroit des infidèles. Et que l’on ne vienne pas me parler des soi-disant versets abrogeants, tout d’abord parce qu’historiquement ils ont été écrits avant les versets qui prêchent la violence. Ensuite parce que le coran est un livre incréé, dicté directement par allah à mohamed par l’entremise de l’archange Djibril (Gabriel), ce qui fait que rien ne peut y être ajouté ou retranché. Au même titre que Clemenceau disait que la révolution est un bloc dont on ne peut rien distraire, le coran est un livre qui ne peut pas être détaillé au gré de ses inclinations. Les islamistes comme les musulmans soi-disant modérés, chiites ou sunnites, lisent le même livre. Que certains veuillent remiser certains passages, violents et intolérants, est une chose, tout à fait honorable au demeurant, mais cela fait d’eux de mauvais musulmans, et cela ne les autorise pas à affirmer que l’islam est une religion de paix et de tolérance.

Je suis en colère parce que partout, dans tous les journaux, sur toutes les ondes télévisuelles et radiophoniques on ne cesse de répéter qu’il ne faut pas faire d’amalgames, qu’il ne faut pas stigmatiser. Mais la vérité, c’est qu’au nom de ces principes imbéciles on a créé le terreau fertile sur lequel les réseaux ont pu prospérer. On a certes adopté une loi interdisant le port du voile, mais à cause du tribunal merdiatique elle est rapidement devenue inapplicable. Pour les mêmes raisons de refus de la stigmatisation, on a créé des zones non pas de non droit mais où est appliqué un droit alternatif, celui du plus fort, celui qui permet à des groupes de patrouiller dans les rues pour veiller à la décence des filles et des jeunes femmes, celui qui permet de créer des réseaux terroristes, des territoires où le trafic de drogue se déroule pratiquement eu vu et au su de tous. Il ne faut pas stigmatiser, dans l’absolu je pourrais souscrire à ce mot d’ordre, mais quand même, qui me fera croire que les milliers d’individus qui vivent dans ces quartiers, dans la proximité de ces trafiquants, de ces braqueurs, de ces membres de réseaux terroristes, ne savent pas ce qui se passe à côté de chez eux ? Comment ne pas être en colère lorsque l’on considère que tout ce petit monde bien au fait de ce qui se fait, se dit, se trame, ne pipe mot à la police ? Comment ne pas voir qu’il y a au mieux une sorte de complicité passive sur fond de solidarité religieuse et culturelle ? On a voulu abandonner l’ancienne assimilation, jugée nauséabonde avec ses relents colonialistes, et bien on a eu un beau résultat : le communautarisme, autrement dit des enclaves étrangères en terre de France où peuvent évoluer autant d’ennemis de l’intérieur que possible.

Je suis en colère parce que les gouvernants de notre pays, ceux des pays voisins, les cadors de l’Europe, ont ouvert en grand les frontières de notre espace commun. Pourtant, il y avait eu des rapports alertant les intéressés du fait que un nombre non négligeable de djihadistes s’était glissé dans le flot en marche vers l’Europe. En colère parce que les dirigeants qui ont décidé de fermer leurs frontières et de les renforcer ont été désignés aux peuples comme étant de purs salauds insensibles. Bien sûr, à part ceux qui ont été visés par cette campagne de dénigrement, les dirigeants ont oublié l’essentiel, à savoir que leur rôle consiste à protéger les peuples qui leur ont donné mandat. De fait, il n’est pas étonnant de retrouver, parmi les auteurs de la boucherie du Bataclan, un type né en Syrie et qui est entré en Europe par la Grèce. La question est donc de savoir combien d’autres attendent leur tour, chez nous comme chez nos voisins. L’Arabie saoudite, le Qatar, le Koweït, Oman, Bahreïn et les Émirats arabes unis n’ont pas accueilli un seul de leurs frères en religion alors que leurs pays se trouvent à 1000 kilomètres des lieux où sévit le califat islamique, alors que l’Europe est à 4500 kilomètres. Ce qui ne les a pas empêchés d’exhorter « la communauté internationale à assumer ses responsabilités pour aider les réfugiés syriens« . On ne saurait être plus cynique. Pour justifier leur refus, ils arguent du fallacieux prétexte de leurs fragiles équilibres sociaux qui risqueraient d’être compromis. La réalité, c’est qu’ils savaient fort bien ce que ce flot organisé cache, et comme ils sont considérés comme des impies par les barbus, ils n’allaient pas ouvrir leurs portes en grand. Ils préfèrent donc que ce soient les européens qui paient la note. Ce que ce sont empressés de faire nos gouvernants.

Je suis en colère parce que la majeure partie des prélats de l’Eglise, l’actuel Saint-Père en tête, ces mitres molles, aveuglés par les marottes du temps, refusent de voir la vraie nature de l’islam qui lui n’a pas abandonné sa volonté prosélyte, qui n’a pas remisé aux oubliettes sa soif de conquêtes et de violence. Fort heureusement, il reste quelques prélats, tels Monseigneur Ravel, évêque aux armées, pour tenir un langage de lucidité : « Le chrétien aime la paix mais il sait vivre en état de guerre. Il ne faut pas séparer la prière et l’action. La prière pour la paix ne se substitue pas aux moyens légitimes par exemple au fait de prendre les armes. Dieu ne va pas envoyer ses légions d’anges pour éliminer nos adversaires ! » Il est temps que les catholiques se réveillent, se rappellent que Dieu vomit les tièdes, et que l’Europe chrétienne ne s’est pas créée ex-nihilo mais à travers de grandes batailles : de Poitiers, les Croisades, du Kosovo Polje, de Lépante, de Vienne, qui avaient l’islam pour seul et unique ennemi.

je suis en colère parce que ce monde post-moderne, oublieux de ses racines, de son histoire, de ses devoirs, est incapable de concevoir le mal et de le reconnaître. On préfère ne pas nommer l’ennemi, ne pas voir qu’il est parmi nous et que fermer des frontières ne sert à rien dès lors qu’il possède la même carte d’identité que la nôtre ou qu’il a été accueilli au nom d’un concept dévoyé de la charité. Alors, au nom des bons sentiments nous serons impitoyables dans le respect des droits de l’homme et de la dignité humaine. Autant dire que dans les banlieues et les douars ça doit grassement rigoler. En attendant, ils nous font goûter à leur conception du « vivre-ensemble ».

21 réflexions sur “Je ne suis pas triste, je ne suis pas sidéré, je suis en colère

  1. En colère parce que la réalité de l’islam est visible pour toute personne de culture, de mémoire et de bon sens, que la trahison des politiciens comme les effets de leurs politique étaient aussi grosses que le Yamato et aussi prévisibles que le lever du soleil.

    En colère parce que cette tragédie – dans laquelle des gens innocents paient les pots cassés de ces traîtres – va encore être récupérée et justifier le maintien au pouvoir de ce guignols band qui aurait dû – sinon se suicider publiquement – au moins démissionner.

    En colère parce que l’on va encore nous prendre pour des cons à nous tenir le discours du « vivrensemblepâdamalgam » et que – en effet – bien des gens vont encore marcher dans la combine, la même combine qu’on nous a servie à Kosovo, en Bosnie, lors de Beslan et en Syrie.

    Aimé par 1 personne

  2. Rien à rajouter comme d’habitude, vous exprimer très bien ce que beaucoup ressentent. La colère gronde de partout, et ce que je trouve curieux, c’est qu’à la télé on ne voit personne en colère, on a tué leurs enfants, leurs proche et personne ne se rebelle, ne clame sa colère devant les caméras. Il y a quelque chose qui cloche. On voit toute sortes d’analystes, mais personne pour exprimer sa haine, son dégoût, sa frustration d’avoir prédit ce qui allait se passer ? Obligé d’aller sur les sites, les blogs, et les réseaux sociaux pour se rendre compte de l’ampleur de cette colère.

    J’aime

  3. Fort heureusement il y a, parmi les prêtres de France, des hommes qui refusent d’abdiquer devant le progressisme qui s’est emparé de l’Eglise de France :

    Nous sommes la France

    Notre pays vient de connaître le pire attentat terroriste de son histoire. Plus de 120 morts, des centaines de blessés graves. Nous sommes tous sous le choc. L’émotion, la peine immense pour les victimes, l’incompréhension devant le mal qui se déchaîne… la colère aussi, se bousculent dans nos coeurs.

    Parce que nous croyons en Dieu, parce que nous sommes catholiques, la prière vient se mêler à nos larmes. Nous prions pour tous ces morts, pour que le Seigneur les accueille dans sa Paix. Nous prions pour leurs familles dans une douleur si grande. Nous prions pour les blessés, en espérant qu’ils se rétablissent. Nous prions aussi pour tous ceux qui nous protègent, ici ou au loin : forces de l’ordre, militaires, services secrets… Nous prions enfin pour nos dirigeants, afin qu’ils soient à la hauteur de leur mission dans les semaines et les mois qui viennent. Il est vrai que Jésus nous demande aussi de prier pour nos ennemis, « ceux qui nous persécutent ». C’est dur. Mais faisons-le aussi : Dieu seul est capable de nous garder de la haine aveugle et de nous faire espérer leur conversion.

    Prier ne veut pas dire rester passif. Prier ne dispensera pas de réfléchir, ni d’agir.

    Ne nous trompons pas : ceux qui ont fait cela ne sont pas des fous. Au contraire, avec férocité, ils font la guerre. Ils sont en guerre contre nous. Contre la France. Contre ce que nous sommes et contre ce que nous croyons. Il faut un jour en prendre conscience. Ce jour semble être venu.

    Demain, la réponse – au-delà de la réaction policière, militaire et judiciaire – devra aussi consister à refonder ce que nous sommes. Nous serons forts face à ces barbares – qui ne s’arrêteront pas là – si nous sommes solides dans notre identité, notre culture et nos valeurs. C’est cela qu’ils ont voulu attaquer, c’est cela le vrai rempart qu’il faut leur opposer et le combat qu’il nous faut mener.

    Nous sommes français : il va nous falloir retrouver ce que cela veut dire et comment cela peut nous rassembler. C’est bien dans notre histoire, notre culture, notre foi que nous trouverons cette force d’âme dont nous allons avoir besoin dans les temps qui viennent.

    Demain, très vite, nous aurons besoin de ces âmes fortes pour reconstruire. Que chacun ait cela à l’esprit, en particulier la génération qui vient. La France a toutes les ressources pour être victorieuse, quand elle est fidèle à ce qu’elle est vraiment, à son identité profonde et à sa vocation, quand elle est grande et généreuse, fière et courageuse. A chacun de nous, selon sa vocation, d’y travailler, sans faiblir et sans tiédeur.

    Nous sommes la France.

    Que Notre Dame veille sur nous.

    Les prêtres du Padreblog

    [Addendum : Dans sa revendication, Daech affirme avoir pris pour cible Paris, « qui porte la bannière de la croix en Europe »…].

    Source : Padreblog

    J’aime

  4. La Pologne lie les attentats à la crise des migrants et déclare qu’elle n’en accueillera pas

    Suite aux attaques qui ont frappé Paris, la Pologne ne respectera pas les accords européens de répartition de migrants, a déclaré le futur ministre aux Affaires européennes.

    « Les décisions, que nous avons critiquées, du Conseil européen sur la relocalisation des réfugiés et immigrés vers tous les pays de l’UE ont toujours force de droit européen. (Mais) après les événements tragiques de Paris, nous ne voyons pas la possibilité politique de les respecter », a déclaré samedi Konrad Szymanski, futur responsable aux Affaires européennes dans le gouvernement en cours de formation à Varsovie, dans un entretien au site wPolityce.pl.

    Selon lui, les attentats de Paris s’inscrivent « directement » dans le contexte de la crise migratoire et des bombardements français en Syrie.

    Ils marquent la nécessité de « revoir la politique européenne face à la crise migratoire », a-t-il poursuivi. « La Pologne doit garder le contrôle complet de ses frontières, ainsi que de sa politique d’asile et de migrations », a-t-il insisté, alors que les accords prévoyaient qu’elle accueille 7000 migrants.

    Un peu plus tard, alors qu’il déposait une gerbe de fleurs devant l’ambassade de France à Varsovie, il a justifié ces propos : il faut « approcher de manière différente la communauté musulmane qui vit en Europe et qui hait ce continent, qui veut le détruire », a-t-il dit. Il a attaqué la politique européenne d’ouverture prônée, selon lui, par les mouvements politiques de gauche, qui est « une voie sans issue ».

    Le PiS, formation eurosceptique, a obtenu la majorité absolue des sièges au Parlement issu des élections du 25 octobre, un résultat sans précédent depuis la fin du régime communiste en 1989.

    Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/pologne-lie-attentats-crise-migrants-et-declare-qu-elle-en-accueillera-pas-2443056.html#Q7vlyP7mc27WJR7Z.99

    Aimé par 1 personne

      • Le fils-de-putisme dans toute sa splendeur. Bien entendu, pas un seul journaleux ne lui aura posé la question de sa responsabilité dans ce bordel. Normal, il l’a fait pour de belles raisons, et les belles raisons des belles personnes ne sauraient être questionnées, même si elles ont accouché d’un monstre. Il y a bien longtemps que l’on ne juge pas une idée sur les fruits qu’elle produit mais sur leurs intentions.

        J’aime

  5. Amiral (Arnaud D I presume ?), je reprends immédiatement sur La Plume ton remarquable coup de gueule du jour : le fond, terriblement lucide, la forme, d’une limpidité et d’une finesse de plume toutes aristocratiques, comme le cri de colère, le cri de rage, nécessaire et mobilisateur, le justifient très largement !

    Bravo et merci !

    J’aime

    • Il semble évident que ces fanatiques ont choisi leurs cibles pour ce qu’elles représentent: des bars, des restaurants, une salle de concert, lieux typiques de la culture française, lieux de « débauche » pour des islamistes pour qui l’alcool et la musique sont proscrits.

      De là à nous qualifier de « croisés », on mesure à quel point ils sont arriérés, et figés sur des représentations obscurantistes du monde. N’importe, on peut s’attendre à de nouvelles attaques, qu’ils vont vouloir aussi choquantes que celle des Twin Towers, et je m’attends donc à l’attaque d’un lieu de culte comme Notre-Dame de Paris, le concert d’une célébrité française, ce genre de chose. La guerre nous est déclarée, et Anne Hidalgo soutient la France d’un lamentable « ils ne supportent pas notre modèle de vivre-ensemble »… mais ta g.. sinistre idiote!

      J’aime

      • Il faut comprendre que les croisades ont été un traumatisme colossal pour le monde musulman jusqu’à nos jours. A tel point que l’ont continue, pour désigner les occidentaux, les termes « roumi » (romain, c’est à dire chrétien), ou « Franj » (les Francs), et bien entendu « croisés ». A noter que ce dernier a systématiquement été utilisés par tous les leaders politiques et terroristes, Yasser Arafat entre autres, du monde arabe pour désigner l’occidental, cela sert le but qui est de montrer à la rue arabe que les occidentaux ont été et sont des oppresseurs.

        J’aime

        • Soit. Mais quel traumatisme cela a t’il pu être pour tous les chrétiens d’Europe de voir leurs lieux saints envahis et occupés par les conquérants de l’Islam? Quel traumatisme cela a t’il pu être pour les italiens et autres méditerrannéens de subir les razzias des bandits barbaresques? Pour les francs de subir les invasions des sarrasins? Pour l’Espagne d’être occupée pendant des décennies? Je ne connais pas précisément l’Histoire concernant ces faits, et j’ai bien dans l’idée que vous ne cédez pas à cet argument islamiste, mais… mais ça m’énerve, et pas question de me laisser dire « ça a été un traumatisme pour les pauvres arabes colonisés ».

          J’aime

          • Ah mais les traumatismes sont toujours unilatéraux, ceux qui en souffrent se fichent bien de savoir si leurs actes passés ou présents peuvent causer de tels dommages aux autres. C’est lié à la nature de l’islam, soi-disant religion binaire qui professe que ceux qui ne sont pas avec eux sont nécessairement contre les musulmans, qui prêche la conversion ou la mort, pour qui l’apostasie est un crime majeur qui doit être puni par la mort, etc.

            J’aime

  6. Petit rappel sur la religion de paix, d’amour, de tolérance :

    Sourate 9, verset 29 : « Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, qui ne considèrent pas comme illicite ce qu’Allah et son prophète ont déclaré illicite(…) jusqu’à ce qu’ils paient, humiliés et de leurs propres mains, le tribut ».

    Sourate 2, verset 216 : « Le combat vous est prescrit et pourtant vous l’avez en aversion. Peut-être avez-vous de l’aversion pour ce qui est un bien et de l’attirance pour ce qui est un mal. Allah sait et vous ne savez pas ».

    Sourate 9, verset 5 (appelé le verset du sabre) : « lorsque les mois sacrés sont passés, tuez les associateurs (les chrétiens qui croient en la Trinité), tuez-les où que vous les trouviez, capturez les, assiégez les, tendez leur des embuscades. Si ensuite ils se convertissent à l’Islam, laissez-les ».

    Sourate 9, verset 29 : « combattez ceux qui ne croient ni en Allah, ni au jour dernier, au jour du jugement. Ceux qui n’interdisent pas ce qu’Allah et son prophète interdisent et ceux qui ne professent pas la vraie religion et parmi eux ceux qui ont reçu le Livre des juifs et des chrétiens, combattez les jusqu’à ce qu’ils soient soumis ».

    Sourate 47, verset 4 (appelé verset du Djihad) : « quand vous rencontrez les infidèles, frappez les au cou jusqu’à les asservir ».

    Sourate 8, verset 17 : « Vous ne les avez pas tués (vos ennemis). C’est Allah qui les a tués. Lorsque tu portes un coup, ce n’est pas toi qui le porte mais Allah qui éprouve ainsi les croyants par une belle épreuve ».

    Sourate 47, verset 35 : « Ne faiblissez pas et ne demandez pas la paix quand vous êtes les plus forts et qu’Allah est avec vous ! (…) ».

    J’aime

Laisser un commentaire