La gueule de la démocratie

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Les noms des contributeurs, notamment de dame Clinton, parlent d’eux-mêmes.

Le pouvoir n’appartient pas à ceux qui se présentent et sont élus, mais à ceux qui ont payé pour que leur pantin fasse où et comme on lui demande de faire.

Inutile de se leurrer, c’est la même chose chez nous, même si les voies suivies sont un peu différentes.

C’est ça la véritable gueule de la démocratie, juste une illusion.

10 réflexions sur “La gueule de la démocratie

    • Il peut arriver, parfois, que l’ineffable Soral tombe juste. Après tout, une pendule arrêtée donne l’heure exacte deux fois par jour.

      Candidate des banques, assurément, et pas n’importe lesquelles de surcroît.

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      • « et pas n’importe lesquelles de surcroît. »

        C’est juste toutes les banques américaines…. Il me semble qu’elles sponsorisent aussi les républicains donc bon… Finalement elles sponsorisent le pouvoir.

        Pas étonnant qu’elles soient systématiquement sauvées même quand elles font n’importe quoi….

        Je m’étonne néanmoins de voir « Lehman Brothers » parmi les donateurs d’Hillary… Il date de quand ce truc ?

        En même temps le gars d’en face est financés par tous les syndicats, je suis pas sur que ce soit mieux…

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  1. Je constate également en gros un facteur 10 d’écart entre les niveaux de contribution…

    Et pourtant Bernie Sanders a fait presque jeu égal avec Hillary Clinton lors des premières primaire.

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    • La prime à l’outsider, mais elle ne dure jamais longtemps. Ron Paul chez les républicains en a fait les frais par le passé, et ce en dépit d’une ligne plus classique et plus saine : non-interventionnisme, rigueur budgétaire, retour à un état fédéral concentré sur ses fonctions régaliennes, etc. Toutes choses belles et bonnes pour le peuple mais qui ne faisait pas le bonheur du complexe militaro-industriel sans oublier les requins de la finance.

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  2. Hormis le doute sur Lehman Brothers (bizarre, bizarre….) c’est très intéressant le financement des partis américains.

    En France on a trouvé une autre solution, ce sont les contribuables qui payent et les partis ne se gênent pas pour taper dans les caisses (de la formation professionnelle entre autres…).

    M

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  3. Hormis le doute sur Lehman Brothers (bizarre, bizarre….) c’est très intéressant le financement des partis américains.

    En France on a trouvé une autre solution, ce sont les contribuables qui payent et les partis ne se gênent pas pour taper dans les caisses (de la formation professionnelle entre autres…).

    Ma solution : zero financement publique, uniquement du financement privé par des particuliers limité à X euros par ans.

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