29 réflexions sur “La grande peur de la gauche française”
Dixit Askolovitch : « La réalité correspond exactement au discours de l’extrême droite. »
Ben au moins fallait oser le dire.
Notre époque ne permet plus de nier le réel, ceux qui le font encore se disqualifient immédiatement car, c’est une évidence, les années qui viennent vont être brutales et mieux vaut y être préparés.
Considérer la police comme la seule solution après avoir laissé le peuple livré à lui même en supprimant en même temps ce qui pouvait exister en termes de prévention semble logique puisqu’elle l’a rendue indispensable et toute puissante. Non?
Sauf que la police est toujours dans le collimateur de la justice pourrie par la gauche. Du coup, la solution serait plutôt la constitution de milices civiques.
Correction: je me suis mal exprimée: quand je disais « elle l’a rendue », je pensais à la classe dirigeante, sinon c’est comme si elle s’était elle-même rendue indispensable.
La police ne protège pas les gens. Elle protège un système.
Incapables de protéger les femmes, tétanisés face à deux melons, mais en revanche très courageux pour jouer les robocops face aux jeunes filles de la Manif pour tous ou jouer aux canons à eaux sur Pegida.
Les flics ne sont pas la solution mais une partie du problème.
C’est que ce tapage médiatique est aussi fait pour faire oublier les conséquences logiques de l’abandon total de l’état de zones transformées en ghettos. Tout un coup, c’est comme si cette évidence n’avait jamais existé et pour que le réveil des téléspectateurs pris pour des imbéciles « ne soit pas trop difficile » et n’ait pas l’air d’être du fait d’une négation constante et invariable des gouvernements qui se sont succédé mais du fait du résultat catastrophique qui en serait indépendant , (ce qui rassurerait alors les consciences culpabilisées d’avoir été invitées à penser, tout en les dispensant de cet effort…) malgré ce conditionnement continuel disant qu’avec de tels comportements, il était de toutes façons impossible de remédier à quoi que ce soit. Ben voyons. La question que l’on doit se poser doit-elle être la suivante? Que faire, en tant que citoyen, s’il n’y a ni police ni prévention et que la dernière question qui reste est sur les moyens qu’il y a ou non à les remplacer par des caméras? Qui doit être tenu pour responsable sinon ceux qui ont fait et cautionné ces choix d’oubli associé à une surveillance généralisée et dématérialisée pour que les populations les plus favorisées n’aient pas l’impression de trop subir les vagues de ces problèmes « lointains »?.
L’extrême-droite, l’extrème-droite, l’extrèmdroaaate, ce mot est répété une bonne dizaine de fois, accompagné de tous les « -phobes » brandis sans cesse par cette clique politico-médiatique.
Si le journaleux dit que « la réalité correspond exactement au discours de l’extrême-droite » (bis repetita placent), il n’assume en fait rien du tout, et cherche encore des excuses « c’est parce que ce sont des hommes isolés », qui en font des prédateurs, bref cépaleurfote, et faut pas laisser ça à l’extrême-droaaaaaate! Y’en a un paquet, des hommes isolés, partout en Europe, clochards, chômeurs, saisonniers et trimards à la petite semaine, ils ne sont pour autant pas des violeurs, « prédateurs ». Fichu crétin menteur de journaleux, pouah!
La réalité dépasse en fait la fiction: le camp des saints n’est pas sur l’autre rive, il est au sein même de nos pays, on lui a permis de s’installer chez nous, voire on l’a invité, et même quand il agresse et attaque nos compatriotes, on cherche encore à accuser quelqu’un d’autre. L’Europe est fichue.
J’ai failli en faire un billet, en début d’après-midi, tellement la phrase de ce pauvre guignol d’Askolovitch me semblait irrésistible ! Et puis, à quoi bon ?
celle que j’ai entendue m’aurait plutôt choquée s’il n’avait pas eu lui-même cette expression effarée en la disant. Je ne comprends pas qu’on puisse dire des trucs pareils.
Les commentaires ne s’affichent plus dans l’instant? Tout à l’heure, c’était le cas, je crois et du coup, j’ai reposté et il y en a 2 en trop. Vous pouvez les ôter?
Askolovitch n’est qu’à moitié lucide, il est encore partiellement dans le déni. Ce n’est pas la réalité qui correspond au discours « d’extrême droite », mais le contraire : c’est le discours « d’extrême droite » qui correspond à la réalité, alors que les autres discours, tout particulièrement celui des medias dominants, ne correspondent à rien. En tournant sa phrase de cette façon, il reproche inconsciemment à la réalité de ne pas valider l’idéologie. Ce qu’il ne peut regarder en face, c’est que seule « l’extrême-droite » dit la vérité et fait les bonnes analyses.
» Ce qu’il ne peut regarder en face, c’est que seule « l’extrême-droite » dit la vérité et fait les bonnes analyses. »
Certainement pas sur la situation économique en tous cas.
J’ai vu la chronique en direct, j’ai été frappé par le début de commencement de lucidité de ce type qui est quand même la quintessence du journaleux bobo-gaucho, socialo-étatiste et collectiviste.
Oui, effectivement, je parlais de l’analyse des faits en question. Mais je reconnais que Askolovitch est dans la bonne direction. Si même lui en est là, c’est que le vent commence à tourner.
De toute façon, ils tourneront.
Si jamais le vent veut bien tourner, bien sûr.
Edgar Faure, je crois : « ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. »
Il savait de quoi il parlait.
Il s’est tu pendant des années sur la criminalité subie par le « petit blanc » et la « petite blanche » en justifiant les faits la plupart du temps.
Il a aussi soutenu tout ce projet de société relativiste, matérialiste et hédoniste qui implique la destruction de tout idéal de vie commune enraciné dans un héritage culturel, historique et donc indirectement religieux Chrétien, car opposé à ce nivelage des Hommes par le bas.
Maintenant qu’il se rend compte que les gens de sa communauté (le lobby qui n’existe pas) sont menacés par ces populations même dont ils ont encouragé l’importation afin de réaliser cet objectif de remplacement et de déracinement, il se met en apparence à se rallier à ce qu’il vouait encore hier aux gémonies. Pas de changement radical, juste un opportunisme de base qui sert les mêmes intérêts hier et aujourd’hui.
Chroniques désabusées 
Dixit Askolovitch : « La réalité correspond exactement au discours de l’extrême droite. »
Ben au moins fallait oser le dire.
Notre époque ne permet plus de nier le réel, ceux qui le font encore se disqualifient immédiatement car, c’est une évidence, les années qui viennent vont être brutales et mieux vaut y être préparés.
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Considérer la police comme la seule solution après avoir laissé le peuple livré à lui même en supprimant en même temps ce qui pouvait exister en termes de prévention semble logique puisqu’elle l’a rendue indispensable et toute puissante. Non?
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Sauf que la police est toujours dans le collimateur de la justice pourrie par la gauche. Du coup, la solution serait plutôt la constitution de milices civiques.
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Correction: je me suis mal exprimée: quand je disais « elle l’a rendue », je pensais à la classe dirigeante, sinon c’est comme si elle s’était elle-même rendue indispensable.
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la police.
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Le discours de l’extrême-droite qui devient ou va devenir le discours officiel! Comment va-t-on « faire barrage au FN »?
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😀 😀
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La police ne protège pas les gens. Elle protège un système.
Incapables de protéger les femmes, tétanisés face à deux melons, mais en revanche très courageux pour jouer les robocops face aux jeunes filles de la Manif pour tous ou jouer aux canons à eaux sur Pegida.
Les flics ne sont pas la solution mais une partie du problème.
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Pas tous, quand même.
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Ça alors, Askolovitch qui découvre l’Amérique!
Dommage que la prise de conscience arrive un peu tardivement mais mieux vaut tard que jamais, pas vrai?
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si vous le dites.
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C’est que ce tapage médiatique est aussi fait pour faire oublier les conséquences logiques de l’abandon total de l’état de zones transformées en ghettos. Tout un coup, c’est comme si cette évidence n’avait jamais existé et pour que le réveil des téléspectateurs pris pour des imbéciles « ne soit pas trop difficile » et n’ait pas l’air d’être du fait d’une négation constante et invariable des gouvernements qui se sont succédé mais du fait du résultat catastrophique qui en serait indépendant , (ce qui rassurerait alors les consciences culpabilisées d’avoir été invitées à penser, tout en les dispensant de cet effort…) malgré ce conditionnement continuel disant qu’avec de tels comportements, il était de toutes façons impossible de remédier à quoi que ce soit. Ben voyons. La question que l’on doit se poser doit-elle être la suivante? Que faire, en tant que citoyen, s’il n’y a ni police ni prévention et que la dernière question qui reste est sur les moyens qu’il y a ou non à les remplacer par des caméras? Qui doit être tenu pour responsable sinon ceux qui ont fait et cautionné ces choix d’oubli associé à une surveillance généralisée et dématérialisée pour que les populations les plus favorisées n’aient pas l’impression de trop subir les vagues de ces problèmes « lointains »?.
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L’extrême-droite, l’extrème-droite, l’extrèmdroaaate, ce mot est répété une bonne dizaine de fois, accompagné de tous les « -phobes » brandis sans cesse par cette clique politico-médiatique.
Si le journaleux dit que « la réalité correspond exactement au discours de l’extrême-droite » (bis repetita placent), il n’assume en fait rien du tout, et cherche encore des excuses « c’est parce que ce sont des hommes isolés », qui en font des prédateurs, bref cépaleurfote, et faut pas laisser ça à l’extrême-droaaaaaate! Y’en a un paquet, des hommes isolés, partout en Europe, clochards, chômeurs, saisonniers et trimards à la petite semaine, ils ne sont pour autant pas des violeurs, « prédateurs ». Fichu crétin menteur de journaleux, pouah!
La réalité dépasse en fait la fiction: le camp des saints n’est pas sur l’autre rive, il est au sein même de nos pays, on lui a permis de s’installer chez nous, voire on l’a invité, et même quand il agresse et attaque nos compatriotes, on cherche encore à accuser quelqu’un d’autre. L’Europe est fichue.
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J’ai failli en faire un billet, en début d’après-midi, tellement la phrase de ce pauvre guignol d’Askolovitch me semblait irrésistible ! Et puis, à quoi bon ?
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Voila…
Encore une dérobade.
Pourtant j’aurais aimé lire votre point de vue sur ce sentencieux Claude.
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celle que j’ai entendue m’aurait plutôt choquée s’il n’avait pas eu lui-même cette expression effarée en la disant. Je ne comprends pas qu’on puisse dire des trucs pareils.
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merci
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le temps de comprendre le mot « féministe » employé par le journaliste n’est pas envisageable.
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Les commentaires ne s’affichent plus dans l’instant? Tout à l’heure, c’était le cas, je crois et du coup, j’ai reposté et il y en a 2 en trop. Vous pouvez les ôter?
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Askolovitch n’est qu’à moitié lucide, il est encore partiellement dans le déni. Ce n’est pas la réalité qui correspond au discours « d’extrême droite », mais le contraire : c’est le discours « d’extrême droite » qui correspond à la réalité, alors que les autres discours, tout particulièrement celui des medias dominants, ne correspondent à rien. En tournant sa phrase de cette façon, il reproche inconsciemment à la réalité de ne pas valider l’idéologie. Ce qu’il ne peut regarder en face, c’est que seule « l’extrême-droite » dit la vérité et fait les bonnes analyses.
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D’un autre côté, il reste gauchiste jusqu’au trognon. J’imagine que faire ce pas lui aura énormément coûté.
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» Ce qu’il ne peut regarder en face, c’est que seule « l’extrême-droite » dit la vérité et fait les bonnes analyses. »
Certainement pas sur la situation économique en tous cas.
J’ai vu la chronique en direct, j’ai été frappé par le début de commencement de lucidité de ce type qui est quand même la quintessence du journaleux bobo-gaucho, socialo-étatiste et collectiviste.
C’est un début…
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La thématique n’est pas économique, donc…
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Oui, effectivement, je parlais de l’analyse des faits en question. Mais je reconnais que Askolovitch est dans la bonne direction. Si même lui en est là, c’est que le vent commence à tourner.
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De toute façon, ils tourneront.
Si jamais le vent veut bien tourner, bien sûr.
Edgar Faure, je crois : « ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent. »
Il savait de quoi il parlait.
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L’askolo est comme Finkielkraut.
Il s’est tu pendant des années sur la criminalité subie par le « petit blanc » et la « petite blanche » en justifiant les faits la plupart du temps.
Il a aussi soutenu tout ce projet de société relativiste, matérialiste et hédoniste qui implique la destruction de tout idéal de vie commune enraciné dans un héritage culturel, historique et donc indirectement religieux Chrétien, car opposé à ce nivelage des Hommes par le bas.
Maintenant qu’il se rend compte que les gens de sa communauté (le lobby qui n’existe pas) sont menacés par ces populations même dont ils ont encouragé l’importation afin de réaliser cet objectif de remplacement et de déracinement, il se met en apparence à se rallier à ce qu’il vouait encore hier aux gémonies. Pas de changement radical, juste un opportunisme de base qui sert les mêmes intérêts hier et aujourd’hui.
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+1
il retourne sa veste, toujours du bon côté.
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